Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 10 : Le Debut Des Soldes
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 10 : LE DEBUT DES SOLDES
Il m'emmenait à la chute d'eau, en avançant sur le promontoire rocheux on avait une vue impressionnante, c'était magnifique, la rivière coulait en lacets et par endroits il y avait des chutes d'eau plus ou moins hautes, des rapides. Doù j'étais je pouvais deviner qu'il était possible de descendre en suivant plus ou moins les rives
Quand je me retournais, toujours sur le promontoire rocheux j'avais une vue impressionnante, c'était à tomber, il était là en pleine lumière, nu, son corps avait des couleurs ambrées, il y avait cette queue énorme qui pendait entre ses cuisses, ses yeux, son sourire. Ça faisait quelques jours que
J'avais plus mal au cul, mais plus du tout alors ! En un instant je bandais. Il ne cachait pas sa surprise mais ce sourire qu'il affichait me disait aussi qu'il appréciait et rapidement il en faisait de même !
Je voyais sa queue se développer doucement, elle se relevait à peine, puis prenant plus de volume elle se décalait légèrement sur la gauche. Elle continuait à prendre un peu plus de place. Elle se relevait encore et se décalait de nouveau droit devant lui cette fois. Elle continuait à gonfler, il ne lui fallait plus que quelques instants pour se relever complètement, prendre son volume maximum et sa position presque à la verticale
C'était un beau spectacle qu'il m'offrait là. Mon cur battait fort.
Je m'approchais d' Étienne, il posait sa main sur mon bras. Je me mettais à genoux devant lui et lui caressais la queue. Avec ses deux mains il me caressais les cheveux, les joues. Je passais ma langue sur son gland, je faisais tourner le bout de ma langue autour de son gland, aussitôt je l'entendais gémir et je ressentais une légère pression sur l'arrière de mon crâne. J'y répondais en prenant sa queue un peu plus profondément dans ma bouche. Elle est balaise mais j'ai de l'entraînement et j'aime ça, sa queue s'enfonçait encore un peu plus et encore d'avantage.
Il appuyait doucement sur ma tête, tout doucement. Sa queue s'enfonçait de plus en plus, elle entrait maintenant en entier, je sais synchroniser ma respiration et, je maîtrise
Il appuyait sur mes oreilles, et tirait ma tête vers lui mais sans me retenir, je sentais que je pouvais me dégager à tout moment. Je continuait ça un long moment.
Quand je me relevais, je me retournais et j'admirais encore un moment le paysage puis je le prenais par la main et l'entraînais vers un un doux tapis d'herbe, douillet et confortable
Vous avez remarqué depuis le début de cette histoire que je suis un garçon prévoyant quand je pars faire du camping
je l'invitais à s'asseoir.
Ensuite je continuais à lui sucer la queue longuement. Il ne cachait pas son plaisir et me caressait avec une extrême douceur toutes les parties de mon corps qu'il pouvait atteindre. Il était assis, les jambes allongées sur le sol et légèrement écartées, il était relevé, le dos appuyé contre un rocher. Je me relevais l'enjambais.
Il m'attrapait alors pas les fesses en passant ses mains entre mes jambes et me tirait fermement vers lui, surpris je ne pouvais même pas résister. Il prenait à son tour ma queue dans sa bouche et me la suçait avec expertise lui aussi. Je le laissais faire en lui caressant la tête avec tendresse. Il avalait ma bite bien profond et je sentais les caresses de sa langue et c'est moi qui gémissais maintenant.
J'attrapais un flacon de gel intime dans mon sac ( quand je vous dis que je suis prévoyant )
Je le lui donnais. Il comprenait le message, il continuait à me sucer la queue et je le sentais aussi me lubrifier le cul
Il m'introduisait un doigt puis deux et rapidement me massait la prostate. Je poussais un cri de surprise je tombais en avant et ma queue s'enfonçait en entier. Il continuait, lui aussi il maîtrise.
Doucement je m'accroupissais, lui ne bougeait pas et me couvrait de baisers au fur et à mesure ou je me trouvais à sa portée.
Je soufflais fort, bon c'est d'accord je me la suis prise dans le cul il n'y a pas si longtemps mais elle est vraiment grosse, on en rêve toutes mais quand on est au moment décisif
C'est toujours avec un certaine boule au ventre que
Je me disais, là ça va faire mal, non je ne pourrai pas
Et à ce moment ça faisait vraiment mal. Je me détendais et recommençais.
Sa queue s'enfonçait encore un peu plus profond. Je m'arrêtais, je faisais une pause
Quelques instants sans bouger et je reprenais. Je sentais passer chaque millimètres et quand mes fesses touchaient enfin ses cuisses j'avais l'impression que quelque chose allait ressortir par ma bouche .. ;
Il se redressait alors et me prenait dans ses bras et me serrait très fort. Je me laissais tomber sur lui, totalement empalé sur sa queue et passais mes jambes dans son dos. Je tremblais de plaisir, j'étais sur le point de jouir, à un cheveux de l'extase.
Il me caressait le corps, je lui rendais ses caresses, ses baisers
Il commençait alors à basculer son bassin d'avant en arrière. Sa queue s'enfonçait et se retirait dans un mouvement doux et léger. Sa queue ne se retirait pas beaucoup, elle s'enfonçait à fond par contre et se lent mouvement me massait la prostate. Rapidement, le plaisir montait, je gémissais, je criais, je gueulais, je pleurais. Il faisait une pause quand je me serrais trop fort contre lui et lui faisais sentir que je n'en pouvais plus.
Il était très attentif a chacune de mes réactions, très tendre, très doux, très câlin, très viril et je savais que j'aurais encore mal au cul
Il reprenait le mouvement et faisait durer le plaisir. Je jouissais, j'éjaculais mais rien ne sortais, je tremblais, je ne pouvais plus contrôler mes gestes.
Sa respiration devenait plus intense, plus rapide, plus bruyante
Il me serrait plus fort dans ses bras, je lui demandais grâce, je le suppliais
Il continuait, il accélérait jusqu'au moment ou il était pris de mouvements violent et rapides, là il me faisait sauter sur ses cuisses, comme on fait sauter sur ses genoux
Là je hurlais mais sans pour autant lui demander d'arrêter
Il criait à son tour en faisant une grimace, suivaient quelques convulsion que j'encaissais comme je pouvais mais que j'encaissais ! Il se détendait ensuite et me tirait vers lui, nous restions enlacés, sa queue toujours plantée dans mon cul. J'avais des tremblements incontrôlables et je continuais à pousser de petits cris, de petits gémissements
Quand je me relevais un flot de sperme coulait de ma bite. J'avais joui mais je n'avais pas éjaculé, voilà maintenant que je jutais mais sans jouir. Sans jouir mais non sans sensations au moment ou sa queue ressortait de moi
On se dirigeait vers le lac pour se rafraîchir
J'avais mal au cul !
Remarquez c'était à prévoir ! Je l'avais bien dit mais je m'en moquais. Si en effet j'avais mal au cul, je me sentais bien, rempli, vidé, un peu comme les poissons
Je dis ça parce que Étienne m'a appris à nettoyé et à vider les poissons avant de les cuire
Remarquez la comparaison est peut être un peu excessive ! Mais bon je me sentais vraiment bien
J'avais tout de même mal au cul !
Au départ on devait passer deux semaines près du lac, mais on était si bien qu'on prolongeait un semaine supplémentaire. De temps en temps on téléphonait aux filles, je laissais Étienne discuter avec Hélène, ils vont se marier, je ne suis qu'une passade pour lui. Il n'a rien de mieux alors il se venge sur moi
Ceci dit, j'en redemande. Ça me chagrinait bien un peu mais bon
Je devrais survivre
Je vais sûrement pleurer pendant des mois et deux jours après mon retour je recommencerai à vivre, à draguer
Enfin deux jours si je ne trouve pas dauto-stoppeur mignon, sinon je réduirai la durée de mon veuvage
Oui je sais j'en rajoute mais c'est que je suis comme ça moi.
La fin de ces vacances étaient brutales. Il me laissait démonter la tente pour voir si j'avais appris quelque chose. On nettoyait tout pour ne laisser aucune trace de notre passage. Quand l'herbe aura repoussé il ne restera que les cailloux qui limitaient notre feux, toutes les autres traces auront disparues. On restait à poil pour la route du retour, ça faisait quelques semaines qu'aucun de nous n'avait porté le moindre vêtement et on, en tout cas moi, se sentait bien comme ça.
Il choisissait de me faire passer par les rapides. Bon quand je dis rapides, si quand même, il y avait une zone de cailloux qui assurait le trop plein, c'est là que le lac débordait, on pouvait traverser le lac juste à côté du ravin en marchant sur ces cailloux et roches, là il n'y avait pas vingt centimètres d'eau, suivait ensuite tout un tas de paliers que l'eau descendait successivement. Des trous d'eau, on en profitait pour se rafraîchir. A d'autres endroits, c'étaient de vrais rapides de petites taille, nous on suivait le chemin qui quelquefois nous forçait à revenir dans la forêt et à d'autres moments nous conduisait juste à côté d'une véritable chute d'eau, un arc en ciel se formait alors
La région était magnifique, sauvage mais accueillante, les bêtes sauvages
Même pas peur ! Bon c'est vrai que je n'en avais pas vu
Il nous fallait la journée entière pour descendre au niveau du lac inférieur, les jours sont longs en cette saison mais je devinais que nous ne serions pas rentrés le jour même
On montait la tente
Enfin quand je dis on
JE
Bein oui on dirait que ça vous surprend ? Mais vous me prenez pour quoi ? Moi le camping je connais ça par cur, c'est sans problème que je faisais ça pendant que Antoine allait chercher du bois pour faire le feu. Quand il revenait, tout était prêt, la nourriture n'attendait plus que la cuisson pour devenir notre souper
Eh oui ! Et tout ça, c'est moi qui l'ai fait !
Étienne revenait avec du bois, il n'en revenait pas. Il me laissait même surveiller la cuisson
C'est dire la confiance et le sens de la responsabilité que j'inspire
Une fois de plus on se régalait
Cette dernière nuit était tendre, on l'a passé dans les bras l'un de l'autre. Il allait retrouver sa femme. Peuhhh ! Une femme ! Mais bon il en faut pour tous les goûts
Moi je m'en moquais, je l'avais tout à moi pour une nuit encore, pour une dernière nuit. Je le tenais, je ne le lâcherais pas avant le lever du soleil
Je me glissais tout contre lui dans le sac de couchage, je le caressais, je l'embrassais, et rapidement je jouais avec sa queue. Il me laissait faire. Je le sentais détendu, très détendu, fatigué peut être
Je le suçais tout en le masturbant, je bandais mais j'avais décidé de ne me consacrer qu'à lui. Il était allongé sur le dos, me caressait la tête avec douceur, je léchais, je suçais son gland, il gémissait de plaisir. Je refermais ma main sur son gland bien lubrifié, et faisait pivoter mon poignet. Je le sentais qui se raidissait et soulevais son bassin. J'adorais sentir son corps qui se cambrait, se détendait, sursautait. J'adorais sentir cette queue bien massive qui se relevait, devenait dure comme du béton ( ou presque ) et qui finalement me crachait son jus à la figure
Bon là je ne m'y attendais pas mais c'est vrai que ça faisait un moment que je le tripotais le gars. Il poussait un gémissement de plaisir et de satisfaction, je le sentais qui respirait fort.
Je me blottissais tout contre lui, dans ses bras. Un peu dégoûté quand même, je me la serait bien prise dans le cul une dernière fois moi. Il refermait un bras contre mon dos et
On se réveillait ensemble dans la même position le lendemain matin
Tous les deux on bandait ferme le lendemain matin. Mais il n'était pas question de passer la matinée à se sucer ou à s'enculer, à me faire enculer
Étienne il n'aime pas vraiment en fait mais il est tellement bien équipé pour me défoncer le cul que je ne lui en demandais pas plus ! Je l'admirais quand il faisait ses ablutions, on démontait la tente ensemble, on nettoyait derrière nous. Et on faisait route.
Je n'osais pas lui demander si on était encor loin, en fait j'espérais qu'on passe encore une nuit sous la tente. Surtout que je sais monter une tente moi maintenant ! Mais vu comment il m'avait parlé la veille au soir, je devinais que nous serions à la voiture dans la journée
On arrivait en fin de matinée, il faisait une pause et s'asseyait.
Étienne : Et voilà on est rendu !
Je regardais partout autour de nous, pas de voiture, pas de prairie ou nous avions passé la première nuit.
Moi : Mais non, on n'est pas arrivé, ça ne ressemble pas à l'endroit d'où on est parti et la voiture. Elle est ou la voiture ?
Il me montrait l'autre côté du lac.
Étienne : Là bas ! Environ quatre cent mètres pour traverser mais je sais que ça ne te fait pas peur.
Moi : C'est sur l'autre rive
Étienne : Non ! Tu te souviens de l'île ou nous étions le premier jour ?
Moi : C'est l'île ?
Étienne : Oui ! Mais on est de l'autre côté du lac, donc quatre cent mètres, ensuite on traverse l'île, encore trois cent mètres et on sera arrivés à la voiture
Il ne nous fallait pas longtemps pour traverser, on faisait une pause sur l'île, un petit concours de branlette
Finalement il l'avait eu son concours de branlette
Dans la voiture il y avait le réchaud et on se faisait un vrai repas. Ça nous changeait. J'étais heureux, un peu triste que les vacances se terminent mais heureux
On montait dans la voiture et on en ressortait quelques secondes plus tard en rigolant
On était toujours à poil ! L'habitude depuis près de trois semaines. On se couvrait et on prenait la route
Il faisait presque nuit quand on garait la voiture devant la maison de ma sur. Les deux filles étaient là, elles travaillaient sur leur projet. Finalement elles l'avaient eu leur contrat, c'était un gros contrat
Je frimais un peu, j'avais été un héro, je savais monter une tente, chasser les écrevisses, pêcher du poisson, faire du feu
J'étais devenu un véritable aventurier. Je leur racontais tout ça et Étienne confirmait, Hélène était dans ses bras ( la garce je la hais ), mais bon elle était là avant moi
Ma sur Nadine avait du mal à croire à toute cette histoire mais c'est vrai que j'ai gagné en maturité, maintenant je suis un autre homme, plus virile, plus posé, plus calme, un peu moins
fofolle (?)
Depuis Étienne et Hélène se sont mariés. Bon il ne faut pas raconter cette histoire à Hélène, ce serait méchant et cruel
Enfin cruel pour moi, je terminerais en viande haché et en pattée pour chat
Et en plus j'ai pas de chat
Bon il faut que je termine cette histoire car je vais demain matin me transformer en gladiateur genre Caligula
Non je ne déconne pas, demain matin ça va , il va y avoir des victimes, je vais me transformer en tueur, ça va faire peur je peux vous le jurer
Vous avez deviné ?
Oui c'est ça
Demain c'est le début des soldes !
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